Nouvelles règlementations...



Tout beau, tout nouveau
Tout beau, tout nouveau
Les eurosceptiques ont trouvé, le samedi 18 mai, du grain à moudre avec une règlementation de la Commission européenne fixant la manière de servir l'huile d'olive dans les restaurants. A partir du 1er janvier 2014, les restaurateurs de l'Union européenne ne pourront plus proposer à leurs clients de l'huile d'olive en petite jarre en verre ou en bol, mais devront utiliser des bouteilles scellées et jetables après consommation. L'objectif, pour la Commission, est d'améliorer les conditions d'hygiène et de qualité, afin que les consommateurs n'héritent pas d'une huile diluée avec un produit de qualité inférieure
Dans le même ordre d'idée...
 Les concombres bien calibrés, c’est pour votre bien !
On aimerait aussi que le système bancaire soit aussi bien réglementé !
Les banques qui jouent au Monopoly avec l’argent des épargnants puisque, lorsqu’elle perdent, se tournent vers l’EUROPE pour se faire renflouer…
http://www.presseurop.eu/files/images/article/krauze-EU-legislation.jpg?1343747271
Andrzej Krauze
 On entend souvent que l’UE réglemente la moindre petite chose, de la forme des fruits et légumes à la taille des œufs en chocolat. Mais est-ce vraiment inutile ? Dans sa série sur les “Euromythes”, De Groene Amsterdammer examine la question.

http://www.presseurop.eu/files/groene-amsterdamer_3.jpg?1343740362
Des dispositions idiotes qui compliquent inutilement la vie des entrepreneurs. On s’en plaint tellement que la Commission européenne a créé un site Internet spécifique en vue de battre en brèche près de soixante-dix « euromythes », provenant généralement de journaux britanniques. Les exemples ne manquent pas. Quelle peut être la longueur d’une échelle pour peintres? Quel doit être la taille d’un œuf surprise Kinder ? Quelle doit être la courbe d’une banane ? Est-ce que Bruxelles doit règlementer tout cela ?
Si l’on veut avoir un marché intérieur libre, la réponse est oui. Le juriste Ramses Wessel dit que c’est ironique mais que « plus on veut rendre le marché libre, plus il faut de règles ». C’est certes paradoxal, estime également le politique Hendrik Vos, mais « si l’UE régule des choses qui semblent à première vue des chicaneries, c’est qu’il y a une raison à cela ».
Prenons l’œuf surprise qui doit répondre à des exigences très spécifiques : le volume de l’œuf, à l’intérieur, est déterminé et les moitiés doivent être rattachées par une petite charnière. Pourquoi ? Car selon Vos : « Il y a quelques années, dans l’un des Etats-membres, un bébé s’est asphyxié avec une surprise de ce genre. Des voix se sont alors élevées pour les interdire, alors que d’autres pays ne le voulaient pas. Sur un marché européen unique, cela pose un problème. »
Tous les produits doivent répondre aux mêmes conditions, sinon il y a concurrence déloyale. Cela va loin en particulier en matière d’agriculture. Pour chaque produit il est décrit comment il doit être cultivé : cela va de l’épandage d’engrais à la manière de concevoir un bon concombre (il faut que la courbe ne soit pas trop prononcée).
Pim van Ballekom, qui en tant qu’ancien chef de cabinet de Frits Bolkestein a été responsable pendant des années de ce genre de petites règles, avoue qu’elles semblent souvent idiotes au premier abord, mais qu’elles sont quand même vraiment nécessaires pour combattre le protectionnisme des Etats-membres.
Ainsi, Bruxelles fixe des normes pour les palettes de chauffe-eaux. Van Ballekom : « Au début je me suis dit : c’est absurde. Mais sans ces règles, on autorise les pays à fermer leur marché. L’Italie exigerait alors qu’on ne puisse vendre que des chauffe-eaux avec une palette italienne. » Les règles maintiennent le marché ouvert, et d’après Nico Groenendijk, professeur de gouvernance économique européenne, elles profitent en fin de compte au consommateur.
Pour le spécialiste en administration publique Bernard Steunenberg : « On peut évidemment toujours dénicher une directive ou une disposition de directive très bizarre, mais ce sont des cas uniques. C’est un peu chercher la petite bête. » Le fait qu’il existe énormément de règles n’est certainement pas un mythe. Ainsi, les trente dernières années, le nombre de décisions européennes est passé de 1.300 à plus de 17.000, et le nombre de directives actives a été multiplié par trois. Par contre, dire qu’elles sont en majeure partie absurdes, c’est bien une fable.
Traduction : Michèle Cousin
 Et pour terminer...
Les tigres, les lions, les éléphants, les ours, les otaries... Dans les cirques en Belgique, c’est fini! Le texte de loi est passé au Moniteur. L’interdiction sera effective à partir de ce lundi. C'est très bien de se préoccuper des animaux de cirque... mais nous devons aussi penser aux animaux d'élevage !!!
Par exemple les petites poupoules...
Soyons attentifs ! Ne mangeons que des œufs n° 0 et 1 (chiffre spécifiant le mode d'élevage)
Plus jamais d'œufs n° 2 et 3 !
Nous protégerons ainsi ces pauvres poules


C'est pourtant facile !
Si nous n'achetons plus d’œufs n°2 et n°3,  les éleveurs seront bien obligés de laisser les poules en relative liberté... Comme dans la basse-cour de nos grand-mères où ça cavalait partout....
Désormais, n'achetez que des œufs n°0 et des 1 mais plus jamais des n°2 ou 3


RAPPEL: Depuis le 1er janvier 2004 chaque œuf doit comporter (généralement avant les lettres FR pour France) un chiffre spécifiant le mode d'élevage. Ce qui est important ce sont les chiffres de 0 à 3.
  Ainsi 3 signifie signifie un élevage en cage avec 18 poules au mètre carré.
 Vous avez bien lu : 18 poules au mètre carré dans une cage !          
Pour que vous cessiez d'acheter des boites d’œufs de ces entreprises tortionnaires, voici ci-dessous le tableau des quatre codes : 
Faites passer ce message merci pour notre statut d'homme respectueux de la vie, ne plus faire souffrir les animaux


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